Expos

Toma Dutter / Espaces chimériques

Galerie Iconoscope, Montpellier
Jusqu’au 18 juillet
Toma Dutter propose au visiteur de déambuler dans un espace insolite où représentation, projection et perception dialoguent. Une série d’aquarelles dessinent de possibles ateliers construits de lignes et de plans colorés, esquisses préalables à la transformation de l’espace de la galerie. Ces images sont enchâssées dans une trame colorée par endroits, qui rejoue et perturbe la perspective occidentale classique. Une installation, évoquant le “grid”, dispositif d’éclairage utilisé sur les plateaux de théâtre ou de cinéma, fait écho aux plafonds ébauchés dans les aquarelles et oriente la lumière sur ces dernières.

 

Agnès Fornells

Galerie AL/MA, Montpellier
Jusqu’au 18 juillet

Le travail d’Agnès Fornells réside dans un contraste entre le caractère « brut », direct et sans mise en scène de ses images et la mélancolie qui teinte les scènes. Un basculement s’opère entre le monde extérieur qui perd de sa réalité et un repli sur l’irréel, le monde intérieur, qui amène une part de réalité, pour créer une zone intermédiaire. Du projet mélancolique émane un souffle communicatif, résultat des errances urbaines de l’artiste, de son regard sur la fragilité humaine et le spectacle du monde.

 

Nina Roussière / Les traces du futur

GaleriechantierBoîteNoire, Montpellier
Exposition prolongée jusqu’au 18 juillet

Réception du public sur rendez-vous (06 86 58 25 62) et librement tous les week-ends, les samedis de 15h à 19h30 (en présence de l’artiste) et les dimanches de 11h à 17h.

Nina Roussière ne représente pas, elle observe et assimile certains systèmes issus des avancées technologiques et des découvertes scientifiques, mais aussi de constructions cosmologiques, voire ésotériques, pour les restituer dans ses réalisations. L’artiste est soucieuse de produire une image agissante, elle charge la structure de ses dessins de codes et de combinaisons cryptées. Elle capture les variations infinies qui apparaissent pour donner vie à des traces en mouvement.

 

No Prohibida

Galerie Numéro 5, Montpellier
Jusqu’au 18 juillet

Faisant fi de la montée en puissance de la critique morale et de la censure actuelle, la Galerie Numéro 5 propose une vision subtile, plurielle et décloisonnée du sexe, des fantasmes et du désir à travers le regard de 26 artistes, soit une sélection de plus d’une centaine d’œuvres sublimant les corps, les sexualités et l’érotisme.

 

Tout en carton

Halle Tropisme, Montpellier
Du 11 juillet au 23 août

Jeux, tables à dessin et à découpage, labyrinthe, déguisements, mini-cinéma drive-in avec une sélection de films d’animation, bibliothèque et workshops créatifs, cette exposition 100 % recyclable déployée sur 250 m² est le terrain de jeu idéal pour les enfants, mais aussi une source d’inspiration pour les parents astucieux. On n’a pas de pétrole mais on a du carton !

 

Jimmy Richer – CASA

Frac Occitanie Montpellier
À partir du 15 juillet

CASA est un imposant roman graphique, en voie d’édition, dessiné et écrit par Jimmy Richer. À partir des planches du livre, l’artiste a imaginé une exposition qui sera déployée sur les murs du Frac : CASA prendra alors la forme de dessins muraux sur lesquels d’autres, encadrés, viendront s’accrocher et auxquels sera associée une sélection d’œuvres de la collection du Frac, établie par l’artiste lui-même. Ouverture de l’exposition : mercredi 15 juillet à 14h. En septembre : rencontre avec Jimmy Richer.

 

Sarah Jérôme / Printemps

Galerie Vachet-Delmas, Sauve (Gard)
Du 11 juillet au 29 août

Poétique et foisonnante, l’œuvre de Sarah Jérôme s’exprime pour la première fois sur des grands formats à la mine graphite où l’on retrouve son thème de prédilection : la danse, et notamment les chorégraphies de Pina Bausch. Sarah interchange, brise et répare les images tirées des ballets dont elle s’inspire, pour en suggérer d’autres récits. Dans Solace, c’est une myriade de pieds et de mains qui bourgeonnent. Empreint de violence, l’ensemble évoque les relations humaines, et jusqu’où la bienveillance d’une main réconfortante devient omniprésente.

 

Ouvrir la ruche & Retenir les abeilles

L’Atelier Blanc, Espace d’art contemporain, Villefranche-de-Rouergue
Le Moulin des Arts, Saint-Rémy (12)
Jusqu’au 30 août
L’Atelier Blanc et le Moulin des Arts accueillent l’épisode 2 de l’exposition Des Artistes & des Abeilles qui s’est tenue à la Topographie de l’art à Paris en 2018 et présentent 10 artistes concernés et sensibilisés par l’Abeille. Les œuvres présentées permettent de s’interroger sur la fascinante organisation de leurs vies, leur complexité physiologique, mais aussi sur les conséquences éventuelles de leur disparition annoncée.

 

Faire Communs

Co-création, Co-construction
Parcours d’art contemporain en vallée du Lot – Maison des Arts Georges & Claude Pompidou, Carjac
Du 15 juillet au 30 août
Marie Preston, Line Gigot et Graziella Semerciyan ont engagé une pratique collective qui associe des récits collectés auprès de boulangers-paysans, d’agriculteurs et une enquête sur l’histoire des terres libres. Natsuko Uchino mène des actions transversales entre art et écologie. Son attention aux savoir-faire paysans comme à la fabrique du paysage croise les intérêts de l’ensemble des artistes invités pour Faire Communs. François Martig développe un art protéiforme du déplacement pour une pratique active du paysage.

 

Les Journées de l’Amour

La Chapelle du Quartier Haut, Sète
Jusqu’au 30 août, tous les jours, 12h à 19h

L’exposition collective « Les Journées de l’Amour » prolongée jusqu’au 30 août accueille les œuvres d’une vingtaine d’artistes dont Christophe Cosentino, Depose, Robert Combas et Maxime Lhermet.

 

L’abeille blanche

Espace d’art contemporain du Parvis, scène nationale Tarbes Pyrénées
Du 8 juillet au 5 septembre

L’abeille est devenue l’un des grands symboles de la transition écologique. Car l’abeille représente un des modèles les plus aboutis de réciprocité et de symbiose entre un organisme vivant et son biotope dont il est important de s’inspirer. Telle une recette alchimique, l’exposition présentée au centre d’art contemporain du Parvis veut sublimer ces dimensions à travers le travail d’artistes sensibles à ces questions. Notamment à celles des fréquences, des ondes et des énergies du vivant que véhiculent les abeilles.

 

Julie Legrand

Nous sommes des terres fertiles
Fondation espace écureuil, Toulouse
Du 15 juillet au 12 septembre

Le matériau de prédilection de Julie Legrand est le verre dont elle semble avoir le pouvoir de le modeler à sa guise. De cette matière, l’artiste propose des évocations du monde animal, végétal, minéral et celui des objets, réunis par le matériau verre, qui peut être en baccarat comme en pyrex. Ce matériau, noble ou de peu, jaillit de l’ensemble par flots, par larmes, par éclaboussures, par éclats, par germinations…

 

Visa pour l’image

Du 29 août au 13 septembre, Perpignan
Cette 32e édition sera différente, mais son existence est primordiale pour continuer à soutenir la liberté d’expression, le travail des photographes et la transmission de l’information essentiels à notre compréhension du monde. Au programme, 20 expositions dans des lieux emblématiques, spécialement aménagés pour recevoir le public en toute sécurité, comme le Couvent des Minimes et l’Église des Dominicains. Projections, remises de prix, lectures de portfolios et conférences se dérouleront en ligne, en direct ou en différé.

 

Mecaro – L’Amazonie dans la collection Petitgas

MO.CO – Hôtel des collections,
Montpellier, jusqu’au 20 septembre
Cette exposition regroupe des artistes femmes provenant des pays du bassin amazonien, essentiellement du Brésil, de Colombie, du Pérou, du Venezuela et dont le travail porte à la fois sur l’identité féminine, en particulier au sein de minorités ethniques, et sur l’esthétique tropicale de ces régions riches en biodiversité et dont l’écologie est menacée. Catherine Petitgas est collectionneuse et historienne de l’art basée à Londres et préside, notamment, le Conseil International de la Tate.

 

Ettore Favini / Au Revoir

Carré d’Art, Nîmes
Jusqu’au 27 septembre
L’exposition Au Revoir est la conclusion d’une longue trajectoire, spatiale et temporelle, parcourue par Ettore Favini sur les itinéraires tracés par les tissus à travers les mémoires textiles inscrites dans l’espace méditerranéen. Depuis la Sardaigne, puis Gênes, Le Caire, Chieri et, au-delà des Alpes, jusqu’à Nîmes. Quatre villes qui ont des tissus en commun, dont les origines ont traversé le monde depuis plusieurs siècles : le “jean” ou “jeane” et le “denim”, dont les vies sont indissociables.

 

Les Arts en Balade

26 et 27 septembre, Toulouse

L’association Les Arts en Balade organise la 4e édition des portes ouvertes d’ateliers d’artistes à Toulouse et dans la métropole. Cette année, 83 lieux et 122 artistes ont été retenus. Le site Internet de l’édition 2020 présente la localisation des ateliers, la liste des artistes et leur fiche de présentation. Il permet également de les inscrire en favori pour préparer sa future balade… dans le territoire de la manifestation qui a été étendu à la métropole avec notamment quelques ateliers ou lieux collectifs hors Toulouse : Balma, Colomiers, Fenouillet, Launaguet, Lacroix-Falgarde, Pin Balma et Tournefeuille.

 

Le Canada et l’impressionnisme

NOUVEAUX HORIZONS
Jusqu’au 27 septembre, Musée Fabre, Montpellier
Conçue par le Musée des beaux-arts du Canada, l’exposition retrace la découverte et l’appropriation de la modernité impressionniste par deux générations d’artistes canadiens entre 1880 et 1930. Pour eux, le voyage en France fut un itinéraire obligé, mais ils surent, de retour chez eux, élaborer un vocabulaire pictural propre à leur identité, adaptant leurs impressions picturales à la lumière et aux paysages incomparables du Nord.

 

Yan Morvan, Eat The Rich

La Jetée, Montpellier, en septembre
Photographe indépendant depuis 1988, reconnu comme l’un des plus grands spécialistes de la photo de guerre, il collabore régulièrement avec la plupart des grandes publications internationales. Ses reportages de guerre lui vaudront le prix Robert-Capa (pour son travail au Liban en 1983), deux prix du World Press Photo et de nombreuses récompenses décernées par les écoles de journalisme américaines.

 

Festival Manifesto

Rencontres photographiques de Toulouse
Du 18 septembre au 3 octobre
Jean-Christian Bourcart, invité de cette 18e édition, produit une œuvre d’une grande humanité. Il propose une œuvre photographique qui reflète une démarche artistique affirmée, parfois décalée et souvent non conformiste. Lauréats 2020 : Jean-Pierre Angei, Frédéric Bourcier, Patrick Cockpit, Axelle de Russé, Philippe Fourcade, Matilda Holloway, Nathalie Lescuyer, Laure Maugeais, Odile Meylan, Abdul Saboor, Eric Supiot et Ugo Woatzi. À l’honneur également, les photographies de Marine Lecuyer, Hervé Baudat et Olivier Papegnies.

 

Femmes années 50

Au fil de l’abstraction, peinture et sculpture
Musée Soulages, Rodez
Prolongation jusqu’au 31 octobre

Cette exposition consacrée à la création abstraite des femmes dans les années 50 à Paris, présente un ensemble de plus de 70 œuvres : prêts d’artistes, de particuliers, d’institutions et de musées. En septembre et en octobre, conférences « Femmes des années 50 » co-organisées avec les Amis du musée : Anne Nières (Sonia Delaunay), Sabrina Dubbeld (sculptrices) et Julie Verlaine (galeristes et collectionneuses)
Et aussi :
• Jusqu’au 30 août, prolongation de la présentation de la statue du Prince De Gudea (prêt du musée du Louvre)
• Du 15 juillet au 8 novembre, Parcours Pierre Soulages, le Japon : parcours qui mettra en avant le lien singulier de Pierre Soulages avec le Japon et présentera notamment un vase de Soulages réalisé à la Manufacture nationale de Sèvres.
• Tout au long de l’été, le musée exposera quelques œuvres de Soulages encore jamais présentées à Rodez.

 

L’Esprit du lieu

Musée Rigaud, Perpignan
Jusqu’au 1er novembre
Le Cercle Rigaud et le musée d’art Hyacinthe Rigaud invitent 20 artistes contemporains aux approches variées, ayant tous en commun leur attachement au territoire local : Michel Arnaudiès, Bernard Borgeaud, Jacques Capdeville, Francesca Caruana, Roger Cosme Estève, Philippe Domergue, Marc Fourquet, Michel Fourquet, Sébastien Frère, John Goudie Lynch, Emmanuelle Jude, Patrick Jude, Brigitte Kühlewind Brennenstuhl, Michel Latte, Patrick Loste, Joseph Maureso, Thomas Pénanguer, Jean-Louis Vila, Albert Woda et Yoon-Hee.

 

URBAN PROPAGANDA
OBEY – VHILS

La Serre, Montpellier
À partir du 16 juin

La Serre vous propose une exposition d’Art Urbain qui donne à voir l’évolution de la pratique de Shepard Fairey au fil de sa carrière. Elle met en lumière l’importance de l’artiste au sein du mouvement de l’art urbain mais plus largement dans la création artistique contemporaine.
Vous pourrez aussi découvrir l’œuvre de Vhils ; artiste lisboète avec lequel Shepard Fairey a réalisé plusieurs collaborations.
Des toiles gigantesques de Shepard Fairey aux portes sculptées de Vhils, cette exposition plonge dans le regard de deux géants du street art.

 

Un futur plein d’avenir

Exposition collective jusqu’au 17 juillet et du 1er au 19 septembre
Galerie Arterossa, Montpellier

Un futur plein d’avenir dévoile une nouvelle sélection de travaux d’artistes présentés pendant l’année dans un système de présentation par bacs. Avec les artistes Hazo, Koga, LN, Nicolas de Crécy, Primal, Siou, Silvana, Spig, Marie-Liesse Sztuka, Louise Wolff et Ziké.

 

Les voleurs de feu

La Coopérative-Collection Cérès Franco, Montolieu (Aude)
Jusqu’au 1er novembre

Plus de 450 tableaux et sculptures de 150 artistes illustreront la richesse et la diversité des œuvres accumulées par Cérès Franco sur plus de quarante ans entre le début des années 1960 et les années 2000. Les voleurs de feu présentera ainsi la nouvelle figuration française, le mouvement CoBra, les peintres autodidactes venus d’Europe ou des confins du Brésil, du Maroc et de la Tunisie, les artistes marginaux, visionnaires ou singuliers aux côtés de figures majeures du monde de l’art.

 

Au dehors du dedans

Le Vallon du Villaret, Bagnols-les-Bains Jusqu’au 1er novembre
Cette sélection d’œuvres de la collection du Frac Occitanie Montpellier présentées dans la Tour du Vallon du Villaret dissimulent une part d’elles-mêmes et nous rappellent qu’on ne peut s’arrêter à l’apparence des objets, qu’ils portent en eux des mystères, des territoires incertains, des jeux de mots et des ateliers clandestins… Avec les œuvres d’Armelle Caron, Juan Fontcuberta, Delphine Gigoux-Martin, Eva Marisaldi, Fiorenza Menini, Joachim Mogarra, Régis Perray et Virginie Yassef.

 

Géographies intimes

Galerie du Philosophe, Carla-Bayle (12)
• Clémentine Carsberg, du 12 juillet au 30 août, vernissage le 11 juillet
• Pablo Garcia, du 20 septembre au 8 novembre, vernissage le 19 septembre

Clémentine Carsberg et Pablo Garcia proposeront, avec leur accrochage, une vision de leur travail en lien avec la thématique des Géographies intimes, ou comment parler d’un rapport très personnel aux territoires, aux cheminements et aux espaces. Outre les expositions, des conférences, des échanges et des rencontres seront proposés tout au long de l’été.

 

Sauvages ?

Maison Rouge – Musée des Vallées cévenoles, à Alès
Jusqu’au 20 novembre

Une exposition qui interroge le lien qu’entretient l’Homme avec ce qu’il désigne lui-même sous l’appellation de « monde animal ». Autour des animaux emblématiques des Cévennes, l’exposition réunit plusieurs artistes parmi lesquels Bertrand Gadenne dont Le Hibou, conservé dans la collection du Frac Occitanie Montpellier, et aussi Roland Cognet, Delphine Gigoux-Martin, Rodolphe Huguet, Clara Perreaut et Bernard Pourrière.

 

Tiny Architecture : Small is Beautifull

Centre d’Art La Fenêtre, Montpellier
Du 17 septembre au 28 novembre

Cabane, caravane, yourte, hôtel-capsule, containers, micro-appartements modulables, le micro-habitat est un champ protéïforme, il s’entend à la fois comme une réponse à la problématique de la pénurie de logements. Il constitue également un refuge face à l’aliénation urbaine, sous la forme de retraites mobiles miniatures, à l’écart des villes et proposant à l’Homme de renouer avec la Nature.

 

Paul Valéry et les peintres

Degas, Corot, Courbet, Manet, Monet, Renoir
Musée Paul Valéry, Sète
Du 25 septembre au 17 janvier

Exposition organisée pour le 50e anniversaire de l’ouverture (en 1970) du Musée Paul Valéry dans le bâtiment qu’il occupe aujourd’hui. Créé en 1891, le Musée des Beaux-arts de Sète prenait à cette occasion le nom de Musée Paul Valéry. Mettant à l’honneur le poète, l’écrivain et le penseur qui est au cœur même de l’identité du Musée, l’exposition propose un regard exhaustif sur les relations qui ont uni Valéry à la peinture. Le rendez-vous annuel des Journées Paul Valéry est maintenu aux dates du 25 au 27 septembre.

 

Mondo Dernier Cri

Une Internationale Sérigrafike
Musée des Arts Modestes, Sète
Jusqu’au 31 janvier

Depuis 1993, Le Dernier Cri s’exprime comme un producteur d’images (livres, affiches, pochettes de disques et films d’animation) en tant qu’imprimeur, éditeur mais aussi médiateur et créateur. La rétrospective proposée par le Miam retrace 26 ans d’édition (plus de 400 livres, 200 estampes en sérigraphies, 5 films d’animation), le tout augmenté d’un panorama subjectif sur certains acteurs internationaux (ateliers, artistes) croisés par Le Dernier Cri durant toute son aventure éditoriale et sérigraphique.

 

Les Derniers Impressionnistes

Le temps de l’intimité
Du 26 septembre au 28 février 2021, Musée de Lodève
L’exposition invite à découvrir les artistes de la Société nouvelle de peintres et sculpteurs, confrérie artistique la plus caractéristique de la Belle Époque et de l’entre-deux guerres. Souvent désignés comme « Derniers Impressionnistes », ses membres avaient en commun le goût de l’intimité, des scènes familiales et l’amour du Paysage. De 1895 à 1939, ils firent l’unanimité auprès du public et de la critique et figurèrent dans toutes les grandes expositions internationales.

 

La mesure du monde

Jusqu’au 20 septembre, Sérignan (34)
Musée régional d’art contemporain

Le MRAC présente deux expositions, en lien et résonance explorant tant l’astrophysique, l’alchimie ou la philosophie que les phénomènes climatiques. La monographie consacrée aux travaux d’Abdelkader Benchamma intitulée Fata Bromosa, aborde la question de la compréhension des images et de leur croyance. L’exposition collective La mesure du monde, réunissant plus de vingt artistes, propose un inventaire sensible et poétique du monde et de ses lois physiques.

 

Qalqalah قلقلة : Plus d’une langue

Jusqu’au 6 septembre, à Sète
Centre régional d’art contemporain

L’exposition rassemble vidéos, photographies, sculptures, installations sonores et graphiques qui se font l’écho de langues multiples, hybrides, acquises au hasard de migrations familiales, d’exils personnels ou de rencontres déracinées.

Avec : Lawrence Abu Hamdan, Sophia Al Maria, Mounira Al Solh, Noureddine Ezarraf, Fehras Publishing Practices, Benoît Grimalt, Wiame Haddad, Vir Andres Hera, institute for incongruous translation (Natascha Sadr Haghighian et Ashkan Sepahvand) avec Can Altay, Serena Lee, Scriptings #47 : Man schenkt keinen Hund, Ceel Mogami de Haas, Sara Ouhaddou, Temporary Art Platform (Works on Paper).
Commisaires invitées : Virgine Bobin et Victorine Grataloup co-fondatrices de l’association QALQALAH

 

Souffles de verre

À la Halle du Verre, Claret (34)
Du 26 juin au 29 novembre

Halle du Verre présente des oeuvres de trois artistes verriers désormais incontournables, Antoine Brodin, Olivier Mallemouche et Antoine Pierini

 

L’étrange demeure

Maison des Consuls, Les Matelles (34),
Du 26 juin au 29 novembre
La Maison des Consuls présente les dernières oeuvres de Régis Domergue, des photographies et des installations… étranges !

 

Et aussi

 

Les Coulisses de l’été

Découverte de La Fabrique du CDN
Au Théâtre des 13 vents, Montpellier
Plusieurs dates en juin, juillet et août,
Le Théâtre des 13 vents propose un programme de visites des différents ateliers de La Fabrique* pour découvrir l’activité artistique et les métiers qui l’accompagnent.
Ainsi, neuf visites du théâtre sont organisées autour de ce qui se déploie dans les différents espaces : le plateau, les ateliers costumes et décors, le studio son, la régie lumière… Les artistes ouvriront leurs répétitions, les régisseurs présenteront, sous forme d’ateliers, les spécificités de leurs métiers.
*L’ensemble des espaces, des outils, des compétences et des métiers réunis sur le site de Grammont.

 

UN ÉTÉ ARTISTIQUE

Du 6 au 28 juillet, Pôle de Développement chorégraphique Mosson/Montpellier
Artistes invité-e-s : Elsa Decaudin, des artistes d’EXCERCE ICI-CCN, Mathilde Monnier, Michèle Murray, Didier Théron…
Il s’agit d’une rencontre en deux temps avec les arts de la scène pour des enfants et adolescents de 6 à 14 ans en s’exerçant au mouvement et au geste d’une part, à la parole de l’autre, en rencontrant des artistes et créateurs de Montpellier dans des temps privilégiés et en leur proposant de suivre deux représentations dans l’espace public du spectacle très particulier LA GRANDE PHRASE tiré du répertoire GONFLES / Véhicules de la Compagnie – spectacle corona-compatible. GONFLES / Véhicules projet unique de par son originalité.
Encadrement : Thomas Esnoult, Katia Benbelkacem et Julien Marie-Anne
Inscriptions obligatoires – places limitées & Renseignement : 04 67 03 38 22

 

Montpellier Danse

Du 19 septembre au 28 décembre

Après le confinement, Montpellier Danse prépare Montpellier Danse 40 bis, festival en automne pendant lequel vous pourrez retrouver la plupart des spectacles initialement prévus cet été. Quelques spectacles ont cependant dû être reportés au festival 2021 : c’est le cas de la création de Bouchra Ouizguen ainsi que de celle de Fabrice Ramalingom ou encore du spectacle d’Ohad Naharin et de la Batsheva Dance Company. En revanche, le spectacle “D’après une histoire vraie” de Christian Rizzo est annulé.

 

L’été de la forêt

Sculptures de François Stahly, Pierre Tual, Myriam Mihindou + Jean Prouvé
Friche de l’Escalette, Marseille
Du 1er juillet au 31 août

La Friche de l’Escalette, située à l’orée du Parc National des Calanques de Marseille accueille cette année, pour sa 5e saison, les œuvres de trois artistes couvrant soixante ans de création, de 1960 à nos jours : “L’été de la forêt”, de François Stahly, vaste ensemble sculptural composé d’une trentaine de totems de bois sculpté ; “Reliefs”, « chiffonnages » d’acier Corten de Pierre Tualdotés d’une grâce aérienne ; “Rakus et Savons”, deux installations poétiques de Myriam Mihindou, présentées à l’intérieur du Pavillon de Jean Prouvé.

 

Beer Love Fest

Du 7 au 12 septembre, Montpellier

C’est avec les Trois Grâces, l’un des symboles de Montpellier que Beer Love Fest fait appel à la féminité du houblon : les trois brasseuses dans la ville pionnière du renouveau brassicole français, un hommage aux femmes qui s’illustrent de plus en plus dans le paysage zythologique français, mais aussi pour rappeler qu’il n’existe pas de “bières de femme”. Un festival qui prône la consommation locale et raisonnée et met en avant les produits artisanaux et de qualité selon la devise “buvons moins, buvons mieux”.

 

Sur la toile

Les couleurs au Moyen Âge par
Michel Pastoureau
Sur youtube

Toujours passionnant à voir et à revoir, un cycle de 5 conférences de Michel Pastoureau à l’Auditorium du Louvre en 2012 : “L’historien face à la couleur” ; “Pigments et colorants” ; “Pratiques et codes vestimentaires” ; “Les couleurs du blason et la symbolique des couleurs” et “La « révolution bleue » des 12e et 13e siècles”.

 

Le monde d’Aïni

Sur vimeo

Jean-Luc Weber, ancien cameraman à France 3, consacre un film de 1h30 à l’artiste Philippe Aïni, retraçant trente ans de création de l’artiste. Philippe Aïni travaille et expose, à la Coop-art à Serviès-en-Val, dans les Corbières, dans l’ancienne coopérative du village, l’une des plus grandes de la région, qu’il a transformée en atelier et lieu d’exposition. Il exposera cet été de fin juin à fin octobre la trentaine d’œuvres qu’il vient de réaliser pendant le confinement.

 

Expositions Virtuelles
de la Cinémathèque de Toulouse

lacinemathequedetoulouse.com
Expositions permanentes en ligne réalisées à partir des collections de la Cinémathèque de Toulouse.
• Atmosphère, atmosphère… Le cinéma en France vu par ses affiches, des années 30 à l’Occupation
• Du cinéma plein les yeux : l’ensemble du fonds d’affiches de façade peintes à la main par André Azaïs
• Exposition passionnante sur le film “Le Pré de Béjine” réalisé par Eisenstein en 1937.